L'alliance Stargate SG-1
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 Conte et histoire

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napoleon




Messages : 85
Date d'inscription : 20/08/2008

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MessageSujet: Conte et histoire   Conte et histoire Icon_minitimeMer 3 Sep - 11:40

Merci de ne pas mettre de commentaire ici, mais sur un autre tropic. De plus, merci de ne pas Copier les document dessus à des fin commercials. Merci de votre compréantion.
Je mettrais la suite si cela vous interresse.

Le Talisman


ROUX Sébastien 2007

Prologue



Je m’appelle Jérôme ROI et après de nombreuses années, je me sens enfin d’attaque pour vous raconter ce que j’ai vécu, il y a un certain temps, de plus étrange dans toute ma vie. J’avais 13 ans, bientôt 14 (maintenant, j’ai vingt cinq ans). J’étais donc en 4ème et j’avais plein de copains avec qui je m'entendais superbement bien. J’étais (et je le suis toujours) petit, avec des cheveux bruns, des yeux verts.

Ma mère était et est petite, brune avec des yeux verts. Un peu comme moi quoi, mais elle était encore plus grande que moi (ce qui n’est plus le cas aujourd’hui). Elle travaillait comme journaliste dans sa commune. En tout cas, ça lui plaisait (elle avait dû arrêter car on avait déménagé et n’a plus retrouvé de travail).

Mon père en revanche, il n’était pas du tout comme moi : il était très grand, avec des cheveux noirs et des yeux bleus. Il travaillait dans un centre informatique comme technicien, tout comme aujourd’hui.

J'ai aussi un grand frère qui s'appelle Etienne, et qui était plutôt sympa avec moi, même s'il m'embêtait un peu, parfois beaucoup, mais bon. Il était très grand, blond (et maintenant châtain foncé), il avait des yeux bleu-vert. Il avait bientôt 15 ans, et il était en 3ème.

Enfin j'ai une sœur qui s'appelle Sara. Elle était plutôt casse pied et elle avait beaucoup d'influence sur nos parents. Elle était petite (comme maintenant), brune, avec des yeux noirs qui, dès qu'on croise son regard, nous lancent des éclairs. Elle était en CM2.

Le jour de mon anniversaire, le 6 juillet, mes parents m’avaient offert un talisman en forme de requin. Depuis, je ne le quitte plus, que ce soit quand je dors, ou quand j’allais au collège, lycée et autres écoles. Alors, pour m’embêter, mon frère me disait que c'était mon doudou et ça m'énervait.

Un jour, donc, pendant les grandes vacances, mes parents, mon frère, ma sœur et moi, partîmes près de la Méditerranée dans un hôtel qui avait un nom plutôt sympa : Le bord de mer. Après la longue péripétie du voyage qui dura presque 5 heures (à cause de ma sœur qui, soi disant avait mal au cœur ou avait envie d'aller aux toilettes ou encore à cause des nombreuses bagarres pour des histoires de place ...), nous arrivâmes enfin devant l'hôtel que nous avions réservé.

Des mystères pas comme les autres



Nous nous rendîmes compte, une fois arrivé, que l'hôtel en question était bien plus proche de la plage que nous le pensions. En fait, il était à environ à 50 mètres du rivage (d’où le nom de l’hôtel). Après avoir monté les bagages, je courus me baigner. L'eau était tiède, et il n'y avait presque pas de vagues. Après une demi-heure de baignade, mon frère m'appela pour que je vienne manger. Quand nous passâmes à table, le patron vint nous apporter la carte où il y avait le menu. Après une brève lecture, je constatai qu'il y avait un peu de tout et que j’allais pouvoir me régaler. Tout à coup, un homme entra dans la salle. Il devait avoir une quarantaine d'années, il était grand et maigre, il avait de grands yeux noirs tout comme ses cheveux. Il se dirigea vers le patron et lui murmura quelque chose à l'oreille et repartit sans faire attention aux clients de l'hôtel à une exception près : moi. Le plus étrange était que je trouvai sur mon oreiller une lettre de menace qui me disait de ne plus me rendre à la mer. En tout cas, à ce moment-là, je cru que c’était un canular que mon frère m’avait gentiment fait pour se moquer de moi ; Je déchirai la lettre en mille morceaux et je mis le tout à la poubelle (faute de cheminée).

Le lendemain, après que j'eus pris un rapide petit déjeuner et sans tenir compte de la lettre (ce n’était une petite lettre qui allait gâcher mes vacances), je prévins mes parents que j'allai à la mer, ce que je fis aussitôt. L'eau était très froide, contrairement à la veille, et il y avait beaucoup de vagues. Au bout de dix minutes, j’avais dû me résoudre à sortir de l'eau, car elle était vraiment glacée. En revanche, l'après-midi, l’eau était plutôt chaude et j'avais eu l'idée d'aller beaucoup plus loin, c'est à dire, à côté de l'île d'en face. Aussitôt dit, aussitôt fait. Au bout d'un moment, je trouvais que l'eau était devenue de plus en plus chaude. En faite, plus je me rapprochais de l'île, plus l'eau était chaude et foncée. Or je me rappelais que, plus l'eau est chaude, plus l'eau est claire (d'après mon prof de physique/chimie). J'avais donc décidé de faire demi tour, quand tout à coup, l'eau se mit à bouillir, pourtant elle n'avait pas changé de température. Je m'activai donc, pour regagner la plage. A mi-chemin, une chose encore plus étrange est apparue : un requin. Alors, chose encore plus extraordinaire mon talisman brilla, brilla tellement qu'il m'aveugla et me fit m'évanouir... Ce fut mon frère qui me réveilla. J'étais sur la plage, allongé sur le sable fin.

« -Alors, on se repose ? Avait dit mon frère sur un ton moqueur.

-Comme tu peux le constater, lui avais-je rétorqué. »

Ne pouvant lui dire la vérité s’en qu’il puisse me prendre pour un fou, je partis donc en direction de l’hôtel, tout en repensant à ce que j’avais vu. Après moult réflexions, je pris le parti de mon frère en me convainquant que j’avais rêvé, même si c’était difficile de me le faire croire. Le lendemain, j’étais reparti à la mer, ne pensant plus à la mésaventure de la veille. L’eau était encore chaude et sans vague. Je voulus rejoindre l’île d’en face. Mais comme la veille, un requin surgit, mon talisman brilla, je m’étais de nouveau évanoui et je m’étais encore réveillé sur la plage. Savant que je n’avais pas rêvé, il fallait que j’en parle à quelqu’un. Mes parents… non, cela signifierait la fin des vacances. Ma sœur… non elle raconterai tout aux parents. Il ne me restait donc plus que mon grand frère, et cela ne me plaisait guère. Après quelques minutes de discussions, mon frère avait cru que j’avais trop bu et il ne m’avait pas cru, comme je le pensais :

Tu me prends pour un fou ou quoi ?
Mais non pas du tout ! Il faut me croire.
Bon, bon, dit-il après beaucoup de discussions. Admettons que tu as raison. As-tu une preuve de se que tu avances ? Non.
Que veux tu que je fasse, je ne vais pas en inventer tout de même, et j’ai quand même reçu une lettre de menace.
Bon d’accord. Prête-moi ton talisman.
Que vas-tu faire ?
Ne crains rien. Je vais lui faire une toute petite modification pour deux ou trois jours.
Mais j’en ai besoin, moi.
Tu retrouveras ton doudou dans quelques instants. Voilà, dit-il après avoir bricolé quelque chose derrière mon dos.
Qu’est ce que tu lui as fait ?
Rien de mal. Quand tu iras te baigner, préviens-moi.
Et il s’en alla en sifflotant. Le lendemain matin, j’allai me baigner de bonne heure (pour embêter mon frère qui ronflait, car, comme je devais le prévenir, il fallait que je le réveille). L’eau était gelée. Au bout d’un moment, mon talisman se mit à briller. Je vis, tout de même le requin, avant que la lumière ne m’aveugle. Quand je rouvris les yeux, j’étais allongé sur le sable. Je revins donc voir mon frère, qui s’était rendormi, et il m’expliqua ce qu’il avait fait la veille. D’après ce que j’avais compris, il avait posé une mini caméra, sans me dire d’où elle venait.

On regarda donc l’enregistrement. Ce que je vis me montrai combien j’avais eu de la chance d’avoir mon talisman : un gigantesque requin blanc fonçait droit sur moi, et au moment où il aurait pu m’arracher une jambe, mon talisman s’était mis à briller et un autre requin surgit. Il était jaune transparent, et long de plus de 8 mètres (voire plus encore). Mon requin sauveur venait de mon talisman, car quand il s’en alla, il traversa mon talisman ou sembla carrément rentrer dedans. Avec mon frère, nous avions décidé d’enquêter sur ce requin mais sans en parler à nos parents. Donc, après manger, nous allâmes au poste de police pour savoir s’il y avait des requins dans la région. Le policier avait longuement éclaté de rire et il confirma ce que nous pensions : « Arrêtez de voir trop de séries télévisées ou de films, les enfants, il n’y jamais eu de requin ici et on n’est pas près d’en voir un maintenant ». Nous étions donc arrivés à la conclusion que le soi disant requin gardait quelque chose d’important, et nous avions décidé d’aller voir cette chose.

Donc, le lendemain matin, nous avions pris notre équipement de plongée (combinaison de plongée, masque, palmes, 2 mini bouteilles d’oxygène; grappins, torche, allumettes étanches, mon ordinateur de poche dans un sac imperméable…). Après s’être assuré que nous n’avions rien oublié, et avoir dit à nos parent où nous allions mais sans leur dire ce que nous comptions faire, nous nous étions jetés à la mer et nous avions commencé à nager. Au bout d’un quart d’heure, comme nous l’avions prévu, mon talisman s’est mis à briller et nous nous perdîmes connaissance.
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napoleon




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MessageSujet: Re: Conte et histoire   Conte et histoire Icon_minitimeMer 3 Sep - 18:04

L’île déserte


« Jérôme, réveille-toi »

Nous nous étions retrouvés et réveillés sur île que nous voulions, ce qui nous avait mis en confiance. En revanche, après que nous ayons marché quelques minutes, nous avions trouvé l’entrée d’une grotte, et là, nous nous étions aperçus que tout nos moyens de communications ne marchaient plus._ Vous auriez vu la tête de mon frère quand il s’était aperçut de ça ! Vous auriez été pliés de rire._ Mais dans ces circonstances, je me suis mis à avoir peur. Le pire était que, comme l’avait si bien dit mon frère, « j’étais sûr de l’avoir bien mis à charger ». Cela signifiait deux choses, soit nous avions dormi pendant plusieurs jours (ce qui était peu probable car nos bouteilles d’air n’étaient pas tout à fait vides, soit il y avait une ou plusieurs personnes mal intentionnées. La réponse fut vite résolue, car nous étions entrés dans la grotte et à son extrémité, nous avions vu 2 personnes en train de regarder des billets de banque. Puis, l’un deux alla voir un écran et dit :

« Les gamins ne sont plus là et ils ne sont pas non plus dans le passage.
Tu en es sûr, tu a bien regardé Victor ?
J’en suis sûr. Et si tu ne fais pas confiance, tu n’as qu’à venir toi-même.
Ca va, ça va. Ne t’énerve pas. Je sais qu’ils t’énervent ces sales gamins. Ils t’ont cassé combien de fois ton requin ?
Au moins quatre fois.
En tout cas, il faut les retrouver et vite. Fait tourner les caméras de sécurité pour essayer de les choper.
Ils sont peut être partis à l’heure qu’il est ?
Non. Ils ne peuvent pas partir.
Et pourquoi ça ? Bob ?
Ils n’ont pas assez d’oxygène pour arriver à la terre ferme.
Ils ont pu avertir les secours alors.
Ils n’ont plus de téléphone, leur ordinateur ne marche pas et, et s’ils avaient allumé un feu, on les aurait déjà repérés. Aller, vient, on va les chercher. »
Nous avions attendu cinq bonnes minutes avant de pénétrer dans la pièce. Seulement, les deux bandits nous attendaient et il semblait qu’ils nous attendaient depuis longtemps, au point de croire qu’ils savaient où nous étions dès le début, et donc qu’ils n’avaient pas bougé de place.

« Alors, on cherche à nous fausser compagnie ?dit le dénommé Bob. »
Ce fut seulement la où j’avais reconnus un des deux brigands. Le dénommé Victor était l’homme que j’avais vu le jour de notre arrivée, à l’hôtel.

« Et mais… dis-je.
Tu n’as pas la parole ! hurla Victor.
Du calme, Victor, du calme, dit Bob. Alors gamin, me dit-il, ça t’amuse de détruire notre requin ?
Mais…, dis je en bredouillant
Je t’ai dit de te taire, hurla encore Victor.
Ce qui m’ennui dans cette histoire, dit Bob très calmement, c’est que je ne sais pas comment tu as fait. Et tu vas bien sûr me dire que tu n’en sais rien ? J’en étais sûr. Victor, va les enfermer et attache les bien solidement.
Bien patron.
Et ne m’appelle pas patron, mais Bob.
Compris ! »
Ainsi, il nous enferma à double tour dans une sorte de prison primitive. Je m’apprêtais à lui demander si c’était bien lui que j’avais vu, quand il nous fit signe de nous taire et il partit en fermant la lourde porte en métal dans un grincement aigu à faire mal aux oreilles. Mon frère, qui d’habitude était joyeux, avec un teint coloré, était blanc comme la neige et aucun sourire, même crispé, ne pouvaient être lu. Il faut dire que je n’étais pas très bien non plus. Je me posais souvent la question de ce qu’il allai nous arriver. Je n’osais pas bien sur le demander à mon frère de peur de voir sa réaction. Il faut avouer qu’il était, et l’est encore, très courageux. Nous avions donc attendu longtemps sans parler. Après sans doute quelques heures, la porte de notre cellule s’ouvrit et Victor entra. Il avait un plateau dans les mains ce qui signifiait que nous allions passer au moins la nuit ici. Sans un mot, il me détacha, après avoir posé le plateau par terre, et repartit. Mais bien décidé à lui parler, j’avais commencé à lui demander si c’était bien lui que j’avais vu à l’hôtel, mais il referma immédiatement la porte et la ferma à double tour, ou du moins, c’était ce que j’ai cru à l’instant. J’allai donc délier les liens de mon frère pour qu’on puisse manger ce qu’il y avait sur le plateau.

Après que nous ayons pris notre maigre repas toujours sans dire un mot, le teint de mon frère reprit quelques couleurs, ce qui me rassura. Il se releva délicatement et alla se caller dans un coin. Je me rapprochai de lui pour voir se qu’il faisait. Il était en train de faire des dessins sur le sol à l’aide d’un caillou blanc. Cela représentait toute la grotte, ou du moins ce que nous connaissions. J’avoue qu’il avait une très bonne mémoire pour tout ce qui est visuel, hormis les cours en classe, enfin bref. Après l’avoir longuement regardé, il me parla tout bas comme s’il était persuadé, et à bon escient, qu’on était surveillé :

- « J’ai peut-être un plan pour nous sortir de là. Ici (en indiquant un point sur le plan), il y a un passage qui rejoint directement la mer.

- Comment peux-tu le savoir sans y être allé ?

- J’ai une très bonne écoute. Mais, ne nous fâchons pas. Pour partir, nous emprunterons ce passage. Le plus dur sera de récupérer nos bouteilles d’oxygène pour sortir d’ici.

- Et comment tu comptes t’y prendre ? Déjà, rien que pour sortir d’ici, ce ne sera pas évident, alors pour le reste, c’est presque impossible…

- Pour sortir de cette pièce, c’est un jeu d’enfant ! Allé viens, suis moi. »

Le marché



Et sur ce, nous étions partis. Etienne ouvrit la porte, que Victor, par mégarde, avait cru avoir fermée, et nous avions cherché une pièce ou il y aurai des équipements de plonger. Au bout de quelques minutes, nous avions enfin trouvé une pièce qui n’était fermée à clef. Nous entrâmes donc et nous vîmes des armes à feu. J’avais l’impression de me retrouver dans un film d’action. Mon frère, lui avait l’air réjouit et commença à examiner de plus près les armes. Au bout d’un petit moment, il en prit quelques unes, et m’avait dit d’en prendre mais de ne pas en choisir des trop lourdes. Je m’exécutai donc en les choisissant par leur forme. Ensuite, nous étions partis et il me fit signe d’aller à la porte suivant qui elle était fermée. Il m’écarta, prit un pistolet et tira sur la serrure qui sauta. A l’intérieur, il y avait ce que nous recherchions, c'est-à-dire, des équipements de plongée. Nous en prîmes chacun un et nous retournâmes, selon les instructions de mon frère, à notre cellule.

En arrivant, nous nous étions rendus compte que notre escapade était passée inaperçue, et heureusement d’ailleurs. J’avais tout de même interrogé mon frère pour savoir pourquoi nous n’étions pas partis immédiatement et comment il en connaissait autant sur les armes à feu. Pour la première question, il me répondit qu’il avait vu dans la salle d’arme un livre qui contenait des dates de livraison et qu’il y en avait une justement demain. Quand à la deuxième, il m’avait dit qu’il avait tout appris dans les films de télé et que ce n’était que de la logique en ce qui concernait le choix des armes. Ensuite, nous avions cherché un bon endroit pour cacher les armes. N’en trouvant pas, nous avions fait un trou à l’aide des deux couteaux qu’Etienne avait eu le soin de prendre, et pour finir, nous y avions mis les armes et nous les avions ensevelies avec la terre. Après cela, je m’étais occupé de trouver les caméras ainsi que les éventuelles micros et de les détruire. Il y en avait trois en tout. Quand le soir arriva, ce fut cette fois Bob qui nous apporta le plateau "repas". En arrivant, il avait l’air plus tôt de mauvaise humeur, car il avait regardé partout en cherchant un indice qui lui permettrait de nous taper sur les nerfs. Mais ce ne fut pas le cas et même quand il découvrit ses caméras détruites, il ne dit rien. En revanche Etienne lui adressa la parole :

«Quelque chose ne va pas ? monsieur, lui demanda ironiquement Etienne.
Ouais, vous êtes là et vous vous baladez où vous voulez. C’est ça qui m’énerve.
On ne pouvait pas se balader, dis-je. La porte de notre cellule était fermée à clef. Vous venez de l’ouvrir à l’instant.
Une serrure, ça peut être crochetée très facilement, dit Bob
Mais ça fait un bruit épouvantable et vous nous auriez donc entendu, fit remarquer mon frère.
Laisse-moi leur parler Bob, dit la voix de Victor. Tu vas les tuer et nous aurons deux cadavres sur les bras.
Entendu, dit Bob. Si tu penses y arriver mieux que moi.
Bon, dit Victor quand Bob parti. Je vous propose un marché. Vous restez là bien tranquillement, et après demain, on vous laisse partir.
Si on refuse, dit Etienne ?
On vous tue maintenant, comme ça, vous ne nous dérangerez plus.
Entendu. Nous acceptons. Mais qui nous dit que vous et votre complice allez nous laisser partir ?
Nous sommes des voleurs, des trafiquants, mais pas des tueurs.
Est-ce que c’est vous que j’ai vu à l’hôtel l’autre jour ? demandais-je.
Oui, c’était bien moi. Je savais que quelqu’un de l’hôtel avait détraqué mon requin, et suis donc venu voir sur place qui était cette personne.
Mais comment avez-vous su que c’était moi ?
Mon requin a une caméra. Elle a eu le temps de filmer ton visage avant d’être détruite par je ne sais quoi. Mais peut- être que vous le savez ?
Non, dit Etienne. Nous ne le savons pas et nous espérions que vous nous le diriez. Mais qu’il y a-il demain, de si intéressant, au point de nous faire un marché qui nous rendra notre liberté ?
Ben, nous attendons une importante… non mais dis donc. Vous ne voudriez pas que je vous le dise, dit Victor avec colère.
Excusez moi, dit Etienne avec un ton de désolément faux. Je ne voulais pas vous faire dire du mal.
Au revoir, répliqua Victor. » Et il partit.
Après le départ de Victor, mon frère avait un sourire de triomphe. Quand je l’eu rapidement questionné au sujet de sa réjouissance, il m’avait répondu qu’ils attendaient une livraison et que nous devions la faire échouer. Ensuite, il m’expliqua comment nous allions faire. Au début, je l’avoue, j’étais un petit peu sceptique. Mais à la fin, j’avais admis qu’il y avait une possibilité de réussite, mais à condition que nous sortions de la cellule. En disant cela, mon frère avait éclaté de rire en disant que cela lui prendrai demain qu’une petite paire de secondes.

En tout cas, le lendemain matin, après qu’on eu pris notre “petit déjeuner’’, nous avions repris les armes, Etienne avait sortis une clef de sa poche et il avait ouvert la porte de la cellule en me répondant qu’il l’avait trouvée dans le local des armes. Nous avions fait le même trajet que la veille jusqu’à ce que nous trouvions ce que nous voulions : nous avions entendu un bruit de bateau. Cela voulait dire plusieurs choses : tout d’abord, que nous étions à proximité du rivage et que l’échange de la cargaison avait des chances de se faire là, ensuite, que nos kidnappeurs étaient là aussi, se qui était une bonne et une mauvaise chose en même temps. Nous avions décidé de jeter un rapide coup d’œil pour savoir se qui se passait et nous avions tiré au sort et bien sur, j’ai perdu, s’étais donc moi qui devais aller voir (je pers toujours au tirage avec mon frère, c’est très bizarre. Et ça n’a pas changé aujourd’hui). Après un rapide coup d’œil, j’avais constaté qu’il n’y avait personne. Nous avions donc fait le tour du tout petit port, où seulement deux petits bateaux auraient tenu, et nous avions constaté qu’il n’y avait personne. Nos estimations étaient donc fausses, ce qui nous avait mis mal à l’aise. Après un bon quart d’heure de recherche et de réflexion, nous, enfin Etienne, avait trouvé une porte bien caché derrière de grosses boîtes en bois. Avec précautions, nous étions entrés dans la pièce et nous avions vu les deux complices partir. Profitant de ce moment de paix, Etienne m’avait dit de trouver un téléphone et d’appeler la police, pendant qu’il gardait la porte. Je me mis aussitôt à ma tache, et j’en trouvai un au bout de quelques instants. _ Je me souviens encore de ce foutu passage où j’étais tombé sur un ivrogne _. J’avais donc composé le numéro et quelqu’un me répondit immédiatement :

Centrale de police j’écoute, dit un policier.
Oui bonjours monsieur le policier, je suis sur l’île qui est en face de hôtel le bord de mer, dis-je.
C’est île n’est pas habitée, dit le policier d’une voix fatiguée. Enfin continuez.
Avec mon frère, nous étions partis nous baigner hier ou avant hier, et nous nous sommes fait agresser par un requin. Nous nous sommes retrouvés sur l’île et nous avons trouvé une grotte où deux bandits nous ont capturés. Nous avons réussi à nous échapper mais nous ne pouvons pas partir car ils sont dans le port en train d’attendre de la marchandise. Venez vite s’il vous plaît.
Ecoute mon bonhomme, dit le policier. J’ai beaucoup de travail et donc, je n’ai pas le temps d’écouter tes sornettes. L’île dont tu me parles est inhabitée depuis des lustres. De plus il n’y a pas de requin. En tout cas ça m’a bien fait rire, toi tu as gagné ton pari que tu as fait avec tes copains et maintenant, au revoir. »
Ce cochon de flic m’avait raccroché au nez en me disant que c’était un pari que j’avais fait avec mes copains. Comme si l’on pouvait imaginer une telle histoire. Je m’apprêtais à tout raconter à mon frère, mais il me dit qu’il connaissait déjà ce que je voulais lui dire. Nous savions que dans notre situation, nous n’avions que peu de chance de nous enfuir sans être pris. Nous savions aussi qu’il fallait arrêter ces deux brigands avant qu’ils ne partent, et si possible, arrêter leurs fournisseurs. Nous avions donc décidé de nous installer dans cette pièce en gardant les deux portes. Nous y étions donc restés pendant quelques heures, jusqu’à ce que Victor entrât. Au moment où il poussa la porte, Etienne (qui gardait l’endroit où est entré Victor), lui sauta dessus et l’assomma avec son arme. Nous l’avions ligoté dans un coin et nous l’avions réveillé. Après que Victor eut retrouvé ses esprits et compris ce qui lui arrivait, nous avions commencé à lui poser des questions, et principalement sur la cargaison que Bob et lui devaient attendre et comment elle devrait arriver. Il nous répondit qu’ils attendaient une importante livraison d’armes et que leurs fournisseurs arriveraient en bateau et qu’ils seraient là dans quelques minutes. Je trouvai qu’il était un peu trop bavard et je compris les raisons bien plus tard. En tout cas, il ne nous avait pas dit de bêtises, car environ une demi-heure après, un bateau arriva dans le port. Nous avions attendu que le bruit du moteur s’arrête et que quelqu’un entre dans la pièce où nous étions pour agir.
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napoleon




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MessageSujet: Re: Conte et histoire   Conte et histoire Icon_minitimeVen 5 Sep - 11:42

L’évasion spectaculaire

En effet, on voulait les prendre petits groupes (nous n’étions que des amateurs après tout). Donc, quand quelques personnes (notamment deux) entrèrent, nous leurs avions sauté dessus et nous les avions ligotés. Ensuite, on avait de nouveau attendu un autre groupe qui entra et subit le même sort que le premier. Jugeant que nous ne pouvions plus attendre, nous avions vérifié que personne ne nous attendait derrière la porte, nous étions entrés discrètement dans le port. Nous étions allés nous réfugier derrière des caisses et nous avions regardé ce qui se passait tout autour de nous. Nous avions vu Bob discuter avec deux autres personnes en tenant dans la main des liasses de billes de banque. Il y avait aussi trois autres personnes armées qui débarquaient la cargaison et enfin une dernière personne qui était dans la cabine de pilotage du navire. Il y avait donc en tout sept hommes. Nous nous étions deux. Etienne me fit signe de rester (et me le fit promettre quoi qu’il se passerai) et de le couvrir. Il alla fermer la porte à clef en se déplaçant sans se faire remarquer, puis il se dirigea vers le groupe où se trouvait Bob. Il avait pris son arme et la dirigea vers eux. C’est là qu’il hurla à tout le monde de jeter leurs armes s’ils ne voulaient pas que leurs patrons soient blessés. Bien évidemment, ils empoignèrent leurs armes et regardèrent leur supérieur pour savoir ce qu’ils devaient faire. La personne avec qui Bob discutait, le patron, sans prêter gare à ses hommes commença à incendier Bob :
- Qui est ce gamin et comment est il arrivé ici sans que toi ou Victor ne l’ayez arrêté ? Et surtout, comment a-t-il fait pour avoir des armes ?
- Nous les avions arrêtés, mais ils ont du s’échapper je ne sais comment, balbutia Bob. Quant aux armes, ils ont dû les prendre dans la salle d’armes. On oublie souvent de fermer la pièce.
- Commença-‘‘ils’’ ? je n’en vois qu’un seul, hurla le patron. Et pourquoi vous ne fermez pas la salle ?
- Il y a aussi son frère, dit Bob en reprenant un peu confiance en lui. C’est lui qui nous avait causé des problèmes. Pour ce qui est de la salle, c’est la première fois que nous avons de la visite hormis vous. Alors…
- Et il en cause toujours à ce que je vois. Rétorqua le patron. Pour l’histoire de la salle, nous en reparlerons plus tard.
- Désolé de mettre fin à votre discussion sans doute très passionnante, dit Etienne avec un large sourire, mais dites à vos hommes de jeter leurs armes. Sinon…
- Ecoute gamin, dit le patron. Combien tu veux avec ton frère pour que vous nous foutiez la paix ?
- Ce que je veux, dit Etienne en faisant semblant de réfléchir, et bien je veux que vous me donniez un coup de main en allant de votre gré chez les flics et en leur donnant vos aveux.
- Tu es complètement malade mon petit, dit la troisième personne qui parlait à Bob.
- Silence Louis, dit le patron en prenant un ton calme. Ce gamin est très intelligent. Il veut jouer avec nos nerfs. Alors tout le monde se calme, tout le monde pose ses armes et tout se passera bien. Exécution !
- Vous voilà enfin devenu raisonnable, dit Etienne. Maintenant, tout le monde va se coller sur le mur en face de moi et les mains sur la tête. Et c’est aussi valable pour la personne qui est dans le bateau et qui fait semblant de se cacher.
- Faites ce qu’il dit, dit le patron en s’adressant à ses hommes. Bien gamin. Si tu commençais par me dire ton nom et qui tu es. C’est plus pratique pour discuter gentiment et poliment.
- Vous avez raison, dit Etienne. Je m’appelle Etienne. Je fais parti d’une organisation secrète qui a pour rôle de former les futurs agents secrets français et des autres pays. Notre rôle est d’accomplir une mission donnée, et aussi, de rechercher les criminels, bandits comme vous et vos complices.
- Et je suppose que tu penses avoir réussi ta mission Etienne, dit le patron.
- Non. Je ne l’ai pas encore finis. Cependant, vous pouvez admettre que jusqu'à maintenant, je me suis plutôt bien débrouillé pour un simple gamin.
- Je suis bien obligé de le reconnaître. Mais tu l’as dis toi-même, la mission n’est pas encore terminée. Je ne me réjouirais donc pas trop vite. Mais au fait, où se trouve ton frère ? Je ne le vois pas ?
- C’est normal. Il surveille les autres. Même s’ils sont assommés, ils pourraient faire semblant de dormir et de se détacher, et cela m’embêterai beaucoup.
- Courageux de ta part de venir tout seul, sans soutien. Mais c’est aussi irresponsable d’avoir laissé ton frère tout seul. Il pourrait avoir des problèmes et sans que tu le saches. Ainsi tu ne pourras pas l’aider et tu seras pris entre deux feux.
- Ne vous en faites pas pour moi, je m’en sortirai très bien et mon frère aussi. Bien, maintenant que vous êtes tous là, on va pouvoir embarquer et rentrer sur le continent.
- Et tu penses qu’il ne passera rien pendant le voyage ?
- C’est pourquoi vous allez être attachés. C’est notre ami Bob qui va s’en charger. N’est ce pas Bob, dit Etienne d’un ton moqueur. Attache les bien, je passerai vérifier.
- Tu ne t’en tireras pas comme cela, je te le promets, dit Bob en dissimulant tant bien que mal sa rage.
- On verra qui sortira vainqueur de cette situation, répliqua Etienne.
Après s’être assuré que les bandits étaient bien attachés, mon frère les fit monter dans le bateau. Il les attacha de nouveau sur le bord du navire sauf pour le pilote qui était chargé de rentrer à quai. Mais quand il voulut chercher ceux qui étaient assommés, tout dégénéra. Des bandits sortirent de la cale où ils étaient cachés au moment où Etienne avait mis le pied sur la terre ferme. Alors, ne répondant qu’à mon instinct, je criai à mon frère de se coucher et j’ouvris le feu sur les nouveaux venu. Il y a eu alors un échange de coups de feu intense. Etienne courut se mettre à l’abri et quand il le fut, il ouvrit le feu. Les bandits avaient eux aussi rejoint le mouvement en tirant sur nous. De ce que je me souviens aujourd’hui, j’avais réussi à abattre trois ou quatre bandits, tandis que mon frère en abattait cinq ou six. En revanche, la partie la moins réjouissante était qu’Etienne avait été touché à l’épaule et moi au bras. Toutefois, au bout de dix bonnes minutes, les bandits s’étaient rendus quand mon frère ou moi avions tué le patron. Ils avaient donc déposé les armes et ils s’étaient avancés vers nous les bras en l’air, ou du moins ceux qui le pouvaient. L’un des bandits (le pilote qui s’était mis à l’abri) attacha soigneusement ses complices. Après avoir fouillé le navire de fond en comble et récupéré les bandits qui étaient assommés, nous avions quitté le port et nous nous étions dirigés vers la terre ferme continentale. Une petite heure plus tard, nous avions débarqué devant les touristes fort surpris.

Le tribunal


Toute fois, ils nous aidèrent en téléphonant à la police qui arriva un bon quart d’heure après. Ils mirent tout le joli monde que nous avions capturé à l’ombre et ils nous avaient conduits à l’hôpital pour qu’on examine nos blessures. Nous les avions suivis sans faire d’histoire (de toute façon, nous étions trop fatigués pour discuter). Nous avions passé une semaine en tout à l’hôpital. Nos parents, quand ils avaient appris ce que nous avions fait, nous avaient d’abord passé un savons (qu’Etienne et moi n’avions pas écouté car nous étions beaucoup trop fatigués) et ils nous dirent ensuite qu’ils étaient fiers de nous et que nous avions été très courageux (cela, en revanche, nous avions tout entendu). A notre sortie de l’hôpital, le commissaire était venu nous chercher chez nous pour qu’on puisse dire ce qu’il nous était arrivé. Nous avions donc tout dit et j’avais pris un certain plaisir à raconter la conversation que j’avais eux avec le policier (d’ailleurs, je l’avais vu et il avait dû me faire des excuses, ce qui m’avait bien amusé : voir le policier qui m’avait pris pour un menteur et de reconnaître ensuite qu’il avait eu tort, c’est bien sympa). A la fin de notre récit, le commissaire nous félicita de notre bravoure et nous dit que les bandits auraient du mal à s’en sortir indemnes. Il avait aussi ajouté que, hormis Bob et Victor, les trafiquants étaient déjà connus des services de police, de gendarmerie… pour plusieurs raisons. Il avait aussi ajouté que si nous voulions les condamner, il fallait qu’on aille témoigner. Nous lui avions dit qu’il pouvait compter sur nous bien évidemment.
Après deux ans d’attentent (où dans nos collèges et lycées, nous avions susciter une très grande admiration parmi nos camarades de classes et la jalousie très intense de notre sœur, grâce à notre histoire. Cela nous avait aussi permis de dire des choses que nous n’aurions jamais pu imaginer sans notre aventure : donner des cours à nos profs, par exemple, sur certain point que nous avions vécu lors de notre expédition…), le commissaire nous appela pour nous dire que le procès aurait lieu dans trois mois, et qu’il leur fallait savoir quel jour nous serions présent. Nous avions donc décidez que nous devions passer à la fin pour qu’on puisse savoir si les bandits seraient déjà inculpés ou non. Donc quatre mois plus tard (le jugement avait déjà duré un mois), quand nous devions passer pour rééquilibrer le tribunal (les bandits s’en tiraient avec aucune peine pour le moment à cause d’un juge pas très net), je me suis rendu au tribunal accompagné de mes parents (mon frère devait me rejoindre juste après les cours donc une heure plus tard environ, et ma sœur n’avait pas voulu venir) où le commissaire et le procureur m’accueillirent avec soulagement. Cependant, une heure passa sans qu’Etienne arriva. Nous nous étions dit qu’il y avait des embouteillages. Mais, le temps passait sans qu’il ne donna signe de vie.
Le pire pour nous, c’était que l’avocat voulait que ce sois le plus âgé (mon frère en l’occurrence) qui passe en premier, comme par hasard. Nous lui avions expliqué qu’Etienne devrait arriver d’un instant à un autre et que je pourrais passer en premier, mais il n’avait rien voulu savoir, il prétendait que j’étais trop jeune et que je pouvais tout inventer sans que je sois contredis. Lassé d’attendre, j’appelai son lycée où la personne que je reçus au téléphone m’avait dit qu’il était déjà parti depuis une bonne heure. Je commençai à m’inquiéter de plus en plus. Je partis donc avec le commissaire (mes parents étaient restés au cas où) sur la ligne de bus, où nous avions arrêté tous les bus et interrogé tous les conducteurs sans succès, jusqu'à ce que le dernier conducteur (comme par hasard) nous dit qu’il était descendu deux arrêts avant le palais de justice avec deux autre hommes habillés en noir. Il nous avait aussi montré son sac de cours qu’il avait délibérément oublié en disant que ce n’était pas le sien. Après avoir remercié le chauffeur de ces précieux indices, nous étions remontés dans la voiture et nous avions examiné en détaille le sac et son contenu. Nous avions juste trouvé deux mots : leurs complices. Mes craintes étaient donc fondées, il s’était fait enlever. Nous étions donc retournés rapidement au tribunal où le juge nous attendait. Après que nous lui ayons raconté des excuses à propos de l’absence de mon frère, il avait bien voulu suspendre la séance d’une journée mais pas plus.
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